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Les faits parlent, les histoires vendent

Une manière originale pour commencer à attirer l’attention et amener le lecteur vers ta page de vente ou ton produit : c’est en racontant en histoire.

Mais pas une histoire inventée de toute pièce – ça se sent à des kilomètres les fausses histoires.

[vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]Une manière originale pour commencer à attirer l’attention et amener le lecteur vers ta page de vente ou ton produit : c’est en racontant en histoire.

Mais pas une histoire inventée de toute pièce – ça se sent à des kilomètres les fausses histoires.

Plutôt une histoire tirée de fait réels, parlant d’une expérience utilisateur ou de ta propre expérience. Les gens aiment les histoires. Ça les divertit. Et s’ils peuvent s’identifier à travers ton récit ? Tu peux les amener là où tu le souhaites.

C’est le cas lors de la publication de cette lettre pour inciter les lecteurs à s’abonner au journal de Wall Street. Elle pourrait être considérée comme un cas d’école. Elle a généré – sur la période de 1975 à 2003 – plus de 2 milliards de dollars de ventes en abonnement pour ce journal.

Cependant, c’est en Anglais (comme ¾ des textes lorsque tu apprends le Copywriting) mais je l’ai traduite et analysée pour comprendre un peu les mécanismes derrière cette lettre.

On peut d’ailleurs voir en ressortir une structure, qui est beaucoup utilisé lors de la rédaction de copie persuasive. Contrairement à beaucoup de pages de ventes, ici rien n’est vendu au lecteur dès les 5 premières lignes.

Et tout naturellement, c’est le lecteur qui a envie de bénéficier du produit.

Si tu veux en savoir plus, tu trouveras la lettre ici.

Teddy[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]