Categories
Articles

Que faire quand un nouveau produit n’a pas d’avis clients?

[vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_empty_space][vc_column_text]

Pour rendre une copie plus persuasive, il est intéressant d’interviewer ses clients existants. Les informations récupérées peuvent être d’une grande utilité dans la rédaction de votre offre. Connaître la raison de l’achat chez vous (pas chez le concurrent), savoir ce qu’ils apprécient dans votre produit.. Une mine d’or pour augmenter son taux de conversion.

Il peut arriver, cependant, que vous ne disposez pas d’avis clients. Une entreprise qui démarre tout juste… Un changement de cible… Il peut y avoir une infinité de raisons.

Dans cet article, nous verrons les contournements possibles pour pallier à ce problème.

 

Le problème en cas d’avis inexistants

[/vc_column_text][vc_single_image image=”16698″ img_size=”full” alignment=”center” style=”vc_box_rounded” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]

Bien que votre produit puisse être parfait, un manque d’avis clients remet en cause sa légitimité. Le doute s’installe dans la décision d’achat, ce qui freine le potentiel client dans son processus d’achat.

Il est évident que d’autres techniques de rédaction existent pour mettre en avant ce nouveau produit. Néanmoins, le client va préférer se comparer à ses semblables pour se donner une idée du produit qui lui est proposé. C’est cet élément qui va déclencher le passage à l’action, en plus de la recherche sur l’entreprise, la marque, le produit et les concurrents.

On estime que 60% de la décision d’achat est due à des recherches effectuées par le client. Il est donc important de fournir les bonnes informations, ce qui englobe la preuve sociale : les avis clients.

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

Comment présenter un nouveau produit qui n’a pas d’avis clients ?

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Faire tester le produit

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

La première possibilité est de sélectionner un nombre limité de personnes qui vont tester le produit, en échange d’un avis de leur part.

Il faut cependant veiller à bien sélectionner les potentiels « pilotes » de ce processus.

L’objectif n’est pas de dévaluer le produit testé, mais de permettre à la personne de faire un retour sur le produit, son utilisation et surtout son expérience utilisateur.

C’est notamment utilisé via les influenceurs sur Instagram ou autres réseaux sociaux. La personne reçoit le produit chez elle. Ensuite, elle le test puis fait un retour sur son expérience. Cela passe (bien souvent) par un post sur les réseaux sociaux ou blog.

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16664″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_column_text]

Exemple de post sponsorisé pour un parfum + code promo

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Une relation de confiance est déjà établie entre l’influenceur et son audience.

En présentant le produit à cette dernière, elle va juger le produit légitime, puisque celui-ci est utilisé par la personne que l’audience suit depuis des semaines, mois ou années.

Dans le milieu des jeux-vidéos, un autre exemple, les personnes choisies effectuent une introduction via une vidéo sponsorisée, expliquant en quoi consiste le produit et les avantages.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_video link=”https://www.youtube.com/watch?v=3i3c-yvdu7g” align=”center”][vc_column_text]

Le Youtubeur, qui habituellement joue sur PC, sponsorise dès le début un jeu similaire sur Mobile 

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

Pour ces deux cas de figure, généralement, une réduction à l’audience est mise en place ou des bonus exclusifs si l’audience passe par la personne choisie pour la promotion.

Néanmoins, cette possibilité se limite à l’audience de l’influenceur choisi.

De plus, avec l’utilisation de plus en plus fréquente de cette méthode, nous sommes à présent habitué à ce genre de pratique.

Il faut également trouver la bonne personne pour ce type d’opération.

Dans l’exemple d’un influenceur Instagram, il faut prendre en compte le taux d’engagement de son audience sur sa page et le nombre d’abonnés.

 

Le taux d’engagement sur Instagram

 

On calcule le taux d’engagement de cette manière :

Taux d’engagement = ((« j’aimes » + commentaires) / abonnés) X 100

Pour pouvoir se donner une idée du taux, on peut se référer à une moyenne effectuée en 2017 par Influence.co

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16666″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]

Une fois la personne choisie, il faut passer par un processus d’échange avec la personne (qui peut s’avérer long et complexe).

De mon avis personnel, c’est quelque chose qui va perdre de sa puissance au fil du temps. À force d’être soumis à ce genre de pratique commerciale, on y prête moins attention. Automatiquement, cela va perdre en crédibilité.

Une autre problématique est que ça implique un coût supplémentaire à dépenser auprès de l’influenceur. Un coût qui varie en fonction de la notoriété et de l’engagement de son audience en rapport avec ses publications/vidéos.

 

Sans passer par les influenceurs

 

Il est possible de faire autrement. En sélectionnant de rééls clients (d’un produit différent), cela va renforcer le lien présent entre l’entreprise et les « élus ». En se sentant « spéciaux », ils deviendront des fédérateurs de la marque (du nouveau produit) tout en y laissant un avis sincère et constructif.

Cela donne également un œil externe au produit, permettant de soulever des questions qu’un utilisateur idéal du produit peut se poser sur le fonctionnement et l’utilisation !

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Effectuer une démonstration complète du produit

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

Une autre option consiste à effectuer une démonstration du produit.

Cette fois-ci, on se place dans les chaussures du client idéal et on décrit le produit sous toutes ses formes. On peut utiliser des articles de blog, un post sur les réseaux sociaux ou une séquence d’e-mails, par exemple.

Dans cette démonstration, on y explique le produit sous tous ses aspects :

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

  • Ce que le client obtient  - donc les bénéfices du produit et la promesse que contient le produit. C’est un point important, dans le sens où la description va refléter la réalité du client. Un lien entre la marque et le prospect va se créer, à travers le produit, permettant de solidifier la crédibilité : quand quelqu’un se sent compris, il est plus enclin à écouter et à continuer la suite de la lecture.

 

  • Le fonctionnement du produit  – cela va permettre au client de s’imaginer avec le produit. L’idée derrière est aussi d’être transparent avec le client et présenter les facettes de votre produit.

[/vc_column_text][vc_empty_space][qode_video_box video_link=”https://teddy-bugnon.com/wp-content/uploads/2019/03/Homepage_Main_Video.mp4″][vc_column_text]

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

Exemple avec Elementor, un outil pour créer facilement des pages web

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

  • Connaître ce que propose la concurrence  – il s’agit de ne pas critiquer ce que les concurrents offrent, mais plutôt de ce qui différencie le produit. Il peut s’agir d’un tout petit détail, mais c’est ce mécanisme qui va faire la différence et rendre le produit proposé unique !

 

  • Conclure avec une période d’essai limité  – par exemple 7 jours d’essais, sans carte de crédit. Le client teste le produit, par lui-même, puis décide s’il continue de l’utiliser. Dans le cas de produits physiques, on peut contourner cela via une garantie limitée dans le temps et un retour en cas de non-satisfaction.

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16667″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_column_text]

Exemple avec Shopify, qui propose toujours un essai gratuit, sans rentrer de carte de crédit

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

La preuve sociale, seule solution ?

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

En dehors du produit proposé, il y a d’autres leviers possibles pour renforcer la crédibilité de l’entreprise et de son produit.

Par exemple, si l’entreprise a proposé, par le passé, d’autres produits qui ont su satisfaire un bon nombre de clients, il est tout à fait possible d’inclure cette preuve sociale dans la page de vente du nouveau produit.

Des études de cas, concernant des clients existants peuvent être réalisées, pour montrer que l’entreprise sait satisfaire ses clients.

Mais il peut s’avérer que les clients existants ne soient pas en rapport avec le nouveau produit présenté. Cela peut être le cas lorsque l’on change d’audience basé sur des données démographiques tel que l’âge ou la situation, par exemple.

Une autre possibilité, l’entreprise n’a pas de base cliente et commence de zéro.

On ne peut donc pas utiliser la preuve sociale pour rendre le produit crédible.

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

Une structure de rédaction complète

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16671″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]

La solution alternative est de partir d’une idée directrice par rapport au produit. Par idée, on pense à une liste de bénéfices que le produit va fournir et on retient la meilleure d’entre elles.

C’est cette idée qui va guider la rédaction de l’offre de A à Z.

Vous commencez par mettre en avant cette idée, avec un titre accrocheur. Une fois que cela a attiré l’attention, vous rentrez dans les détails afin que le client s’imagine avec le bénéfice décrit par le titre.

Ensuite, il est temps d’introduire le produit, qui se positionne comme solution pour le client. C’est à ce moment qu’il faudra également parler des caractéristiques et des autres bénéfices du produit : ils serviront à étoffer l’idée directrice qui a servi à attirer le client vers la page.

Pour rendre crédible votre produit dans le marché, aidez-vous de figures d’autorité dans votre thématique (médias, experts).

Cela ne dit pas que votre produit est LA solution mais cela permet d’emprunter leur crédibilité pour montrer que le produit proposé est une solution possible.

Nuance en effet, mais cela permet de s’appuyer sur des avis et référence de valeurs pour le produit.

Allez plus loin dans la rédaction

 

Aussi, mettre en avant ce que le client a déjà pu tenter par le passé, mais qui n’a pas résolu son problème ou désir. En présentant les “fausses” solutions, cela renforce la crédibilité du produit, l’expertise de l’entreprise. Vous montrez également une compréhension du client et de ses besoins.

Si le client a des questions en rapport avec le produit, vous ajoutez une section FAQ. Il est difficile d’imaginer toutes les questions qu’un client puisse se poser, mais en y ajoutant les principales, de nombreuses objections vont être retirées.

Enfin, comme expliqué dans la partie démonstration du produit, une garantie unique ou une période d’essai peuvent être mise en place. Vous limitez le risque et incitez le client à passer à l’action.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Que retenir

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

La preuve sociale est un levier très puissant pour inciter le client à acheter votre produit.

À la vue de la rapidité de l’information grâce aux réseaux sociaux et Internet, le client passe 60% de son temps à effectuer lui-même les recherches. Cette étape lui permet de choisir le produit le mieux adapté à ses besoins. Il prendra en référence des avis de clients existants pour confirmer son choix et ainsi choisir le meilleur produit.

Lorsque qu’un produit ne possède pas d’avis clients, faire appel à des influenceurs est une bonne approche.

Si vous possédez une base cliente existante, faire tester le produit par l’un d’entre eux peut s’avérer également payant. Vous renforcez l’image de la marque et vous obtenez un avis constructif et sincère.

Dans le cas où vous ne souhaitez pas faire tester le produit, il est possible d’effectuer une description complète du produit. Vous orientez la rédaction pour décrire le produit sous tous ses aspects : utilisation, fonctionnement, tutoriels .

C’est une alternative qui peut être réalisée si l’entreprise est déjà établie dans son marché et sur Internet.

Si l’entreprise n’est pas connue et ne fait pas figure d’autorité, il est préférable d’utiliser une structure complète de rédaction.

Elle sera dirigé par une idée directrice qui correspond à un bénéfice que le client va obtenir. Introduisez le produit et présentez les avantages de choisir votre produit. Vous pouvez vous mettre à la place du lecteur en détaillant une section FAQ ainsi qu’une garantie.

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row]

Categories
Copywriting

Comment écrire la meilleure accroche pour ton produit – celle qui engage ton lecteur

[vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]C’est le point clé de la promotion de ton offre. C’est cet élément qui doit te demander un maximum d’effort, de recherche sur ton audience, tes concurrents et également ton produit même… Le tout doit tenir sur quelques mots seulement, en moyenne 10 ![/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

POURQUOI L’ACCROCHE EST IMPORTANTE, QU’IMPORTE LA PLATEFORME UTILISÉE

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Tu peux très bien utiliser Facebook, Google, YouTube ou les e-mails, n’importe quelle plateforme pour effectuer ta publicité, si ton titre n’est pas assez travaillé, tu risques de ne pas vendre assez.

Par la même occasion, ton budget publicité va également augmenter et ton coût d’acquisition par client sera élevé !

Jusque-là, pas de magie, juste de la logique !

La raison est simple. Avec un mauvais titre, le lecteur ne s’y intéresse pas et continue son chemin. Tout ton travail de rédaction, de personnalisation de ton site, le lecteur le découvrira j-a-m-a-i-s.

C’est assez impitoyable, pas vrai ?

Il ne suffit que quelques secondes au lecteur pour zapper un travail qui a pu prendre des heures voir des jours entiers.

D’où l’importance du titre dans la publicité de ton offre.

D’ailleurs, un Copywriter américain, David Ogilvy, le dit lui-même :[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16625″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]La traduction (si tu n’es pas trop anglais) :

“En moyenne, cinq fois plus de personnes ont lu le titre plutôt que le corps de la copie. Lorsque vous avez écrit votre titre, vous avez dépensé 80 cents de votre dollar.”[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

LE VRAI TRAVAIL DE TON TITRE

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Ton titre n’a pas besoin de vendre !

Une expression que je trouve pertinente : “People hate to be sold but they love to buy! ”

On peut le traduire par : “Les gens détestent être vendus, mais ils aiment acheter ! “

C’est une chose qui est assez vraie, je dois dire. On se base sur nos émotions, nos désirs lors d’un achat et on justifie cet achat que par la suite. Personne n’a envie qu’on le force à acheter quoi que ce soit !

Notamment, lorsqu’on traîne sur les réseaux sociaux, ou qu’on regarde une vidéo sur YouTube.

Le travail principal de ton titre est relativement simple : il doit stopper le lecteur et le persuader de lire la seconde phrase de ta publicité.

Il y a plusieurs moyens de capter l’attention de ton audience.

Je vais t’en donner 7 :

  • La curiosité
  • Un effet choc
  • Aller à l’encontre de ce que tout le monde pense
  • Un contraste
  • Bénéfice direct pour le lecteur
  • L’impossible, surréaliste
  • Jouer sur les évènements actuels

 

Avec ça, tu as un bon début qui pourra te permettre de mettre en place un bon titre qui accroche auprès de ton audience.

Tu penses que c’est assez ?

Ce n’est pas tout…

Il faut encore creuser, cette fois, du côté du principal intéressé : ton audience ![/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

L’ÉTAT DE CONSCIENCE DE TON AUDIENCE – FACE A TON OFFRE

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Cette définition provient d’un des plus grands Copywriters de notre globe terrestre, Mr Eugene M. Schwartz, expliqué dans son livre Breakthrough Advertising. Livre introuvable à l’heure actuelle, sauf aux enchères et sur demande !

On va définir 5 états de conscience de ton marché, en relation avec ce que tu as à lui proposer.

Pour parvenir à répondre à cette problématique, il faut d’abord se poser les bonnes questions. C’est ce qui va te permettre de créer le titre parfait (en utilisant – en complément – l’un des moyens cités plus haut).

Le type de questions que tu peux te poser :

  • L’audience est-t-elle au courant du désir – que comble ton produit ?
  • Si ton produit répond à un besoin ou résout un problème, l’audience en a-t-elle conscience ?
  • Le niveau de connaissance : est-ce qu’il sait que ton produit existe ?

 

C’est ce qui va définir nos 5 niveaux ![/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

1 – Le plus conscient

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]C’est la situation rêvée ! Dans ce cas de figure, il n’est pas nécessaire de chercher à faire trop difficile.

Tu as ton offre – l’audience la connaît, elle sait ce que ton produit fait, et il y a une demande. L’élément le plus important de ton titre, c’est le produit et son prix ! Généralement, une réduction est mise en place pour donner encore plus envie.

On a ce phénomène lors de publicités pour les magasins ou lorsqu’on se situe en rayons : par exemple cette publicité de Kinder Bueno ![/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16626″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

2 – L’audience connaît le produit, mais elle ne le veut pas encore

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Ici, on a en notre compagnie un produit (et la marque) qui sont connus du public ciblé, liés à un désir présent qui peut être satisfait via le produit.

Cependant, on fait face à l’un des 3 soucis ci-dessous :

  1. L’audience n’est pas complétement consciente de ce que ton produit fait
  2. Elle n’est pas convaincue que ton produit réponde bien à son besoin
  3. Elle n’est pas au courant que ton produit s’est amélioré (face à une précédente objection – qui empêchait l’achat)

 

Pour résoudre cette problématique, ton titre peut utiliser l’une de ses approches :

  • Renforcer le désir de ton audience pour ton produit
  • Amplifier l’image de ton produit et du désir qu’il comble
  • Étendre l’image d’où et quand ton produit répond à un besoin/désir
  • Introduire une nouvelle preuve sur comment ton produit permet de satisfaire le désir de l’audience
  • Annoncer un nouveau mécanisme qui élimine les précédentes objections
  • Annoncer un nouveau mécanisme qui comble le désir, mais en mieux
  • Changer complètement l’image du produit, afin de le retirer de la concurrence qui promette de combler le même désir

 

Un exemple qui me vient en tête, c’est la publicité pour la brosse à dents Oral B ! Elle s’appuie sur une preuve, comme le montre cette affiche ![/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16627″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]Tu l’as bien compris, la preuve c’est la recommandation par les dentistes !

J’espère que tu n’as pas la publicité en tête ! Au moment où j’écris cet article, je ne parviens pas à retirer la voix !

Un autre exemple (il date un petit peu celui-là) c’est une entreprise qui vend une boisson gazeuse… Coca-Cola!

L’entreprise a utilisé la technique pour étendre l’image de son produit – à travers les saisons ![/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16628″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

3 – Introduire un nouveau produit

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Pour ce troisième cas, l’audience a conscience de ce que ton produit fait, mais n’a pas connaissance de l’existence de ton produit.

C’est un petit peu subtil, je te l’avoue.

Pour attirer l’attention, il te faut “simplement” mettre le désir dans ton titre. Le désir qui peut être réalisé avec ton produit.

L’exemple qui suit montre parfaitement ce point numéro 3 ![/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16629″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]Elle s’adresse aux jeunes désirants de voyager et qui n’ont pas trop de moyens… La solution est dans le titre ! À la vue du nombre de likes et de commentaires, c’est une publicité qui est une réussite !

Pour que ce 3e type d’accroche soit bien réussie, tu peux utiliser 3 attributs :

  • De l’analyse : définis le marché le mieux réceptif à ce que ton produit fait, sa connaissance par rapport aux caractéristiques de ton produit et le principal désir qui l’entoure (jeunes et fauchés dans l’exemple).
  • Il te faut de l’intuition : sentir une tendance dès son commencement (de plus en plus de jeunes voyagent aujourd’hui). Ce n’est pas chose facile, je te l’accorde.
  • De la créativité : la capacité à donner un nom à ce qui n’est pas encore défini, pour capturer une émotion, un désir, une peur dans les mots qui te serviront de titre (via un slogan par exemple).

 

Il peut arriver, parfois, que la plus simple déclaration du désir, ce sera celle qui fonctionnera le mieux. Sinon, tu peux y ajouter l’un des 7 éléments pour capter ton audience (curiosité…).[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

4) Introduire des produits qui répondent à un besoin

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Dans ce 4e point, on ne parle pas de désir mais de besoins.

C’est une configuration assez facile à comprendre : problème et solution. Ton audience reconnaît le besoin de solutionner ce problème, mais n’a pas connaissance de ton produit.

La mise en place de ton titre sera de la façon suivante :

  • Mettre en avant le problème avec ou sans la solution (ton produit)
  • Présenter le problème d’une manière dramatique, amplifiée.
  • Le tout pour présenter ton produit comme l’unique solution

 

Comme dans l’exemple ci-dessous, qui parle de démangeaisons au niveau de la barbe ![/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16630″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]C’est amplifié grâce à la photo de l’homme se grattant la barbe et également au niveau de la mise en valeur du problème !

Bien souvent, le problème décrit n’est pas défini au détail prés. Pour revenir à l’exemple de la barbe, on ne décrit pas le problème pour les personnes qui ont seulement une longue barbe ou plus de 30 ans… On décrit l’aspect général du problème ![/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

5) Le dernier et le plus com-pli-qué : un marché qui “ignore tout”

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Non, je n’insulte pas les prospects d’ignorants… C’est plus dans le sens où ton marché n’a pas connaissance de ton produit ni du désir/besoin. En tout cas, tant qu’il ne sera pas mis face à ta publicité.

C’est dans cette partie (tu l’auras compris) que réside le plus de difficulté pour mettre en place une bonne accroche, celle qui permettra au lecteur de continuer la lecture !

D’une manière évidente, un marché qui est déjà au courant de ce que ton produit fait, réagira différemment par rapport à un marché qui ne te connaît pas du tout.

Pour mettre en place ton accroche, tu peux donc procéder par élimination.

Le prix ne signifie rien, vu que le lecteur n’a pas connaissance de ton produit et de ce qu’il fait. Évidemment, le nom de ton produit est inutile dans ton accroche !

Les cas présents dans la partie 3) et 4) seront inefficaces également, vu que le prospect n’a pas connaissance du désir/besoin.

Comment réaliser la bonne accroche dans ce cas ?

Il te reste… ton marché !

Tu peux te concentrer sur tes prospects, leurs caractéristiques et ce qu’ils sont ! La seule chose que tu vendras avec ton titre, ce sera la lecture du second paragraphe !

Donner des mots à un désir caché, une peur cachée.. Ou à un triomphe auquel ton prospect va s’identifier ! Dans le sens inverse… la résultante d’un problème auquel ton audience pourrait être confrontée (mais qui ne l’accepterait pas dit d’une façon directe).

Pour ce dernier cas, je vais prendre comme exemple une ancienne publicité datant de 1925 :[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16631″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]On peut le traduire par : “Souvent une demoiselle d’honneur… jamais la mariée !” 

Le reste de la publicité se concentre ensuite sur l’histoire d’une femme nommée Eleanor, qui ne parvenait pas à trouver l’amour et combler son désir de se marier à cause… d’une mauvaise haleine ! 

D’où l’idée d’attirer l’attention sur un problème engendrée par un autre plus dur à admettre ! [/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

POUR CONCLURE

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Tu as pu voir l’importance de ton accroche, qui est essentielle à ton produit – peu importe la plateforme dont tu fais la promotion. C’est la première étape dans le processus de promotion pour ton offre !

Il faut alors la confectionner à l’aide de méthodes dans le but de capter l’attention de ton lecteur !

Afin de pouvoir au mieux attirer son regard et le faire s’arrêter sur la promotion, il convient de bien connaître son état de conscience face à ton produit, à l’aide des 5 étapes ci-dessus !

Il est évident qu’avec la rapidité d’Internet, il est très difficile d’être dans le cas numéro 5, mais je tenais à l’indiquer quand même.

Penses-tu reconnaître dans quelle catégorie se situe ton audience – face à ton produit ?[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

DISCUTONS-EN ! Facebook / LinkedIn

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Categories
Articles

Une simple lettre qui a généré 2 milliards de dollars de ventes

[vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]Si tu devais avoir des références en matière de lettre persuasive, celle-ci serait un must-have. Et la raison est simple : cette lettre a généré de 1975 à 2003 l’équivalent de 2 Milliards de dollars en abonnement pour le journal de Wall Street.

(C’est un journal quotidien qui traite de l’actualité économique et financière)

Je te mets la lettre juste en dessous. Elle est en anglais, mais je l’ai traduite pour toi dans la suite de l’article.

Aussi, j’explique – de mon point de vue – les éléments de cette lettre, qui l’ont rendu si persuasive.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

La Lettre Originale

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16400″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_single_image image=”16401″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

La Traduction

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16404″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_single_image image=”16405″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][vc_single_image image=”16406″ img_size=”full” alignment=”center” qode_css_animation=””][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

Analyse

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

La partie surlignée en jaune

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Elle commence par une histoire de deux personnes semblables : réussite scolaire, réussite sociale.

(À aucun moment, il est question de vendre quelque chose).

Mais il y a une SEULE différence entre ces deux hommes : il s’agit de la réussite professionnelle.

À travers cette histoire, le but est que le lecteur s’identifie dans la narration. Et grâce à cette identification, il a deux choix : être comme la première personne ou être le président du département.

Dans un contexte de réussite professionnelle, le choix va naturellement se porter sur le 2e choix.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

La partie surlignée verte

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]La suite de la lettre met de côté l’histoire de ces deux hommes pour se focaliser sur cette différence. En donnant dans un premier temps la raison.

Ici, la raison c’est la connaissance et l’utilisation de la connaissance.

Bien que la raison soit expliquée, elle reste très vague. Le lecteur est curieux de connaître la suite (comment avoir cette connaissance ?).

Une connaissance qui peut être acquise, grâce au produit (présentation de la solution) : le Journal de Wall Street.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Les parties surlignées grise et jaune

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Après avoir identifié le problème et la solution, la lettre se concentre sur les bénéfices et caractéristiques du journal de Wall Street.

L’utilisation d’exemples permet au lecteur de s’imaginer en possession de ce journal. Mais aussi pour montrer à quoi il peut s’attendre s’il venait à lire ce journal.

On y trouve également des symboles d’autorités dans le milieu des affaires aux États-Unis comme « Abreast of the Market » ou « Your Money Matters ». Ceci renforce la crédibilité du Journal qui se présente comme l’unique solution.

Une fois la présentation du Journal effectuée, la lettre donne l’opportunité au lecteur de pouvoir acquérir le produit – via un abonnement.

Le premier abonnement donne l’impression d’une période d’essai, afin de tester le produit (pour les plus sceptiques). Le deuxième abonnement semble plus séduisant, et fait office de bonne affaire pour les plus convaincus.

En complément, il est indiqué comment s’abonner avec une garantie pour le lecteur. On peut noter qu’il y a un renforcement – une nouvelle fois – de la position du Journal en utilisant la preuve sociale avec « des millions de lecteurs ».

La lettre se termine par un rappel du contexte/histoire : deux hommes d’apparence similaire hormis un seul détail. Et cela montre pourquoi le lecteur a tout intérêt d’acheter l’abonnement au journal.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_column_text]

Ce qu’il faut retenir

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]L’ensemble de la lettre met en œuvre une structure très utilisée lors de la rédaction. Une histoire pour poser le contexte – identifier le lecteur – puis faire apparaitre un problème.

Le problème est ensuite solutionné via un produit, que l’on décrit via les caractéristiques. Mais aussi en donnant de la crédibilité au produit via des figures d’autorité dans le milieu et en laissant travailler l’imagination du lecteur – lorsqu’il est en possession de cette solution.

Il est donné ensuite au lecteur la possibilité de bénéficier de ce produit. En y ajoutant une offre unique et une garantie, cela passe pour un « no-brainer » pour le lecteur.

Un brief rappel à la fin pour montrer aux lecteurs ce qu’il peut être AVEC le produit et surtout SANS le produit.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row]

Categories
Articles Copywriting

Décrocher un entretien d’embauche – même s’il y a 97 personnes qui postulent

[vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]Tout le monde n’a pas vocation à vouloir être entrepreneur, ou encore moins travailleur indépendant. Être salarié, avec un bon revenu, peut tout à fait convenir… Encore faut-il passer à l’étape de salarié. Ce qui va suivre explique comment obtenir un entretien pour le job que tu auras décidé de postuler – indépendamment du nombre de candidats. [/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

Réponse à une offre : se démarquer de la masse

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_single_image image=”16311″ img_size=”large” alignment=”center” style=”vc_box_shadow_border” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]Tu as sûrement remarqué (si tu scrutes les offres d’emploi sur Pôle Emploi par exemple), le nombre de postulants est – bien trop souvent – élevé. Et en voyant ça, on se sent démotivé. La candidature n’a même pas été envoyé, que l’on se met en tête que l’on n’aura jamais ce poste. 

Et ça se ressent lors de l’envoi. Il y a moins d’inspiration lors de la rédaction de l’e-mail, de la lettre de motivation. Ou pire, tu passes à autre chose et potentiellement du job que tu as tant rêvé – espérant qu’une autre opportunité se présente. [/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Pourquoi c’est important d’être original 

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_single_image image=”16331″ img_size=”large” alignment=”center” style=”vc_box_shadow_border” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]Positionne-toi à la place de la personne qui se charge du recrutement d’un poste X. Elle reçoit dans la journée 98 e-mails – suite à l’offre – et doit en retenir uniquement 10.  Imagine-toi, tout au long de la journée, tu reçois des e-mails avec comme titre  

“[Numéro OFFRE xxxxx ] Candidature poste X NOM PRENOM”  

Les 5 premiers, ça va. Mais quand tu commences à en voir 30 portant le même titre… puis 40… Bref, tu l’auras compris, c’est toujours la même chose. 

Et c’est d’autant plus problématique, pour toi. Car si ton e-mail n’est pas ouvert, le contenu ne sera pas lu. Et tu peux avoir le meilleur CV du monde (avec la lettre de motivation au TOP), ça n’ira pas plus loin. [/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Casse l’habitude et accroche rien qu’avec ton titre 

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_single_image image=”16332″ img_size=”large” alignment=”center” style=”vc_box_shadow_border” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]C’est un peu le principe du “Pattern Interrupt” (Motif d’interruption).  C’est utilisé notamment en Hypnose, mais aussi en Webmarketing. A force de nous présenter la même chose, on en devient habitué. Et c’est là que le PI opère. 

Pour l’exemple des e-mails de candidature, la personne est habituée à recevoir le même titre d’e-mails. Si tu utilises cette technique ? Automatiquement, tu casses l’habitude et cela attire l’attention. 

Mais ce n’est pas une raison pour mettre n’importe quoi dans ton titre. 

De même, si tu te positionnes comme ceci :  

“Votre futur XXXXX !“ 

Terrible approche. L’entreprise ne te connaît pas du tout. La première chose qu’on va penser de toi, c’est que tu as un excès de confiance… Il y a mieux comme première approche. 

C’est un peu comme en Marketing au final. 

Le mieux, c’est de faire un lien avec le poste auquel tu souhaites postuler. Tu as les compétences qu’il recherche – leur besoin est identifié – utilise le dans ton titre.  

Encore plus puissant, tu peux y ajouter un mécanisme lié au poste, un que tu maîtrises parfaitement. Tes concurrents peuvent le maîtriser aussi… Mais s’ils n’en parlent pas, cela te laisse un boulevard pour les devancer. 

Et l’objectif de ce titre n’est pas de persuader le lecteur que tu es la personne qu’il faut. L’objectif est plus simple : lui donner envie de continuer la lecture de l’e-mail. 

 [/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Le contenu de l’e-mail 

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_single_image image=”16333″ img_size=”large” alignment=”center” style=”vc_box_shadow_border” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]80 % du travail a été fait si tu as passé cette étape d’ouverture de l’e-mail. D’où l’importance de prendre le temps de rédiger un BON titre.  

La chose à ne pas faire, c’est ça : 

“Veuillez trouver ci-joint mon CV ainsi que ma lettre de motivation en pièce jointe pour le poste de XXX. 

Dans l’attente de votre retour, bla-bla “ 

Ça ne donne pas envie. D’une part, ça sent le copier-coller à 3 km donc tu passes pour un paresseux. 

Si tu ne prends pas le temps de rédiger un simple e-mail pour l’entreprise, pourquoi devrait-elle prendre le temps de te lire ? Voir à t’engager ? 

Et deuxièmement – si tu as attiré l’attention avec le titre – tu trompes le lecteur. Il s’attend à lire du contenu intéressant et se retrouve avec un texte plat. C’est le meilleur moyen si tu ne veux pas décrocher l’entretien. 

La bonne méthode, c’est de continuer sur le fil que tu as choisi via ton titre. Elle te sert de ligne conductrice, mais aussi de passerelle entre l’entreprise et toi. 

Tu détailles le poste, avec les bénéfices que cela apporte pour l’entreprise. Et si c’est possible, tu indiques les bénéfices du bénéfice. C’est une manière de montrer que tu sais prendre du recul sur ton poste. Également de voir une image plus grande et qui ne s’arrête pas au travail que tu effectues. 

Par exemple si tu es technicien informatique, le bénéfice direct est que le parc informatique soit fonctionnel. Ce qui est très bien. Mais le bénéfice du bénéfice serait que les collaborateurs soient productifs et d’une manière globale l’entreprise est productive. 

 

Une fois que c’est expliqué, tu te positionnes comme la personne pouvant répondre à ce besoin. Ce sera la 2e partie de ton e-mail. 

Tu y fais le lien avec ton CV et ta lettre de motivation. 

Et finalement, tu ajoutes un appel à l’action. Ce que j’entends par appel à l’action, bien entendu, c’est de te contacter pour un entretien – qu’il soit téléphonique, via Skype ou physique. [/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Résumons ces 897 mots précédents…

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

  • Avec une concurrence de plus en plus présente, même si tu es le meilleur dans ton domaine, si le recruteur n’ouvre pas ton e-mail, tes chances sont quasi réduites à 0.
     
  • Le titre de ton e-mail – en réponse à une offre d’emploi – doit attirer l’attention, afin de se démarquer de la concurrence. Il a pour objectif de donner envie au lecteur d’ouvrir l’e-mail. Il faut cependant que ce soit lié à l’offre d’emploi.
     
  • Le contenu du mail sert à développer le titre que tu as choisi. Tu y présentes dans un premier temps le poste, les bénéfices pour l’entreprise. Et si possible, les bénéfices des bénéfices. Puis dans un second temps, tu indiques la solution. La solution, c’est toi. Tu termines par un appel à l’action comme par exemple un appel téléphonique ou une rencontre.
     

Bien entendu, cela ne se limite pas qu’à ça. Il faut étoffer en mettant en pièce jointe ton CV et ta lettre de motivation. 

En comparaison avec un produit, ils présenteront les caractéristiques qui font que tu es la personne idéale pour ce poste (expérience, diplômes, domaine d’expertise…) [/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]

Pourquoi je te dis tout ça

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]Car le principal objectif – au-delà de décrocher le job – c’est de te vendre. Persuader le recruteur que tu es la personne idéale pour le poste. 

Et persuader avec les mots.. Ce n’est autre que du Copywriting. [/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Si tu souhaites en apprendre plus, je t’invite à suivre ma page Facebook. Tu y trouveras des articles (régulièrement) sur comment persuader ton interlocuteur, rien qu’avec le pouvoir des mots. 

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Categories
Articles Copywriting

7 Raisons De Connaître (Impérativement) Les Bases Du Copywriting

[vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern” z_index=””][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]Aussi connu sous le nom de rédaction persuasive. L’objectif est de convaincre le lecteur d’effectuer une action précise. Le plus souvent, on l’utilise dans le but de vendre. Même si l’on n’aime pas être assimilé à un vendeur, ces 7 raisons vont te montrer que c’est dans l’intérêt de tout le monde (toi et le lecteur) d’utiliser le Copywriting.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

#Raison numéro 1 – Ta compréhension n’est pas égale à celle du lecteur

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16298″ img_size=”large” alignment=”center” style=”vc_box_shadow_3d” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]Peu importe la thématique de ton choix. Tu peux très bien tenir un blog, faire des vidéos Youtube ou même avoir un site commerçant.

Si ce que tu racontes dépasse la compréhension de ton public ? Au mieux, ils relisent, au pire, ils appuient sur “Précédent”.

Ton expertise et ta connaissance ne sont pas remises en doute – mais il s’agit içi de rester sur un niveau égal vis-à-vis de ton lecteur.

Avec le Copywriting, il est très facile d’adapter son langage à son audience. Tout en gardant ce coté expert de ta thématique.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

#Raison numéro 2 – Ça ne part pas dans tous les sens

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Un contenu structuré, c’est toujours plus agréable à lire/écouter. Aussi bien au niveau du fond et de la forme.

Le risque principal est que le lecteur sature au niveau des informations. Et sans structure, on part un peu plus dans le détail sur ci et moins sur cela.

Avec le Copywriting, chaque partie de la structure a son importance. Du début, à la fin.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

#Raison numéro 3 – Peu importe le support, cela s’applique

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16300″ img_size=”large” alignment=”center” style=”vc_box_shadow_3d” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]La force du Copywriting ne joue pas sur la plateforme (TV, Facebook, Blog, Youtube, Journaux).

On l’utilisait bien avant l’époque d’Internet. Cela se fonde sur la psychologie humaine. Et elle n’a pas changé d’un poil.

Les tendances ont peut-être évolué – pas la psychologie. Nous avons toujours nos réactions émotionnelles qui nous poussent à effectuer telles ou telles actions.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

#Raison numéro 4 – C’est juste des mots

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Pas besoin de logiciels à la pointe de la technologie ou un matériel dernier cri. Tout ce dont tu as besoin pour pouvoir mettre en oeuvre le Copywriting…

… C’est d’un clavier, un traitement de texte… et ton cerveau (ou un papier et un crayon).[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

#Raison numéro 5 – Au delà d’un art, une science

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16301″ img_size=”large” alignment=”center” style=”vc_box_shadow_3d” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]Il faut remonter au siècle dernier pour avoir une nette amélioration du Copywriting. Avant, c’était considéré comme un art, jouant sur la créativité de chacun. Avec une touche d’imagination.

Mais rien n’était suivi. On ne pouvait pas définir de formules.

À l’image d’un marin naviguant en mer, chacun agissait dans son coin. Et chacun à leur tour, les mêmes erreurs de navigation, les mêmes obstacles.

Aujourd’hui, c’est différent. On peut se baser sur des contenus qui ont prouvé leur efficacité – et générer un sacré paquet d’argent.

Encore mieux, avec tous les outils mis à notre disposition, il est encore plus facile d’adapter le contenu en fonction de ce qui bloque sur notre structure de Copywriting (taux de clics, vues de vidéos, intéractions, temps resté sur la page).[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

#Raison numéro 6 – Le copywriting, un commercial 24h/24 & 7j/7

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]Imagine que ta rédaction, c’est ton commercial qui a pour objectif ce que tu lui auras dit de faire. Cela peut être de vendre un produit à ton lecteur, le faire s’abonner, le faire regarder et commenter une vidéo.

Un commercial humain pourrait réaliser cette tâche à une seule personne à la fois.

Dans le cas du Copywriting, il n’y a aucune limite. 1.200 personnes, 10.000, 1 million de personnes.

Et il n’a pas besoin de sommeil ou de repos – c’est 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]

#Raison numéro 7 – C’est ce petit détail qui peut t’apporter un maximum de ventes

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image=”16302″ img_size=”large” alignment=”center” style=”vc_box_shadow_3d” qode_css_animation=””][vc_empty_space][vc_column_text]La raison principale d’utiliser le Copywriting est bien entendu de générer plus de ventes.

D’atteindre des objectifs définis (nombre d’abonnés, chiffre d’affaires..). Et c’est une compétence qui est négligé par 90 % des personnes sur le Web.

C’est donc une opportunité de devancer ses concurrents et s’attirer le maximum de monde pour son marché.

À titre d’exemple, une simple lettre – qui est devenu une référence en Copywriting – de Martin Conroy a généré 2 milliards de dollars de ventes pour un abonnement à un journal de Finances ( de 1975 à 2003).[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation=”” row_type=”row” use_row_as_full_screen_section=”no” type=”full_width” angled_section=”no” text_align=”left” background_image_as_pattern=”without_pattern”][vc_column][vc_separator type=”normal”][vc_empty_space][vc_column_text]

Mais tu te doutes bien…

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_column_text]… Qu’évidemment, ce n’est pas une solution miracle. Il n’y a pas de formations/cursus basique.

Cela demande de la recherche sur le net, de la lecture – souvent en Anglais – mais surtout du temps. Un temps de compréhension, de pratique et le temps de mettre en place en conditions réelles.

Un peu comme un match de sport : tu apprends, tu t’entraînes et tu fais des matchs.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]